Des épisodes orageux risquent de perturber les séances d’essais du Grand Prix du Japon. Les probabilités sont moins élevées pour les courses.
Le Japon n’a pas été épargné par des épisodes de fortes pluies et de vents violents en septembre. Si le pire semble être passé, le week-end qui arrive ne fera pas place à un soleil radieux sur l’archipel. Le Grand Prix moto du Japon, qui aura lieu du 23 au 25 septembre, est concerné.
Les pneus pluie devraient être sortis dès essais libres du vendredi après-midi – il n’y en aura pas le matin (lire pourquoi ici). À un peu moins de 48 heures des séances, la probabilité de voir la piste de Motegi trempée est de l’ordre de 80 à 90 %. Les qualifications du samedi sont menacées dans les mêmes ordres de grandeur. Il se pourrait en revanche que les pilotes passent au travers des gouttes pour les courses du dimanche.
Si les prévisions météorologiques sont justes, les pilotes devront chasser la moindre fenêtre d’accalmie pour signer les meilleurs chronos des essais libres, afin de s’assurer d’un passage direct en Q2. Le peu de roulage sur le sec avant les courses ajouterait lui une bonne pincée d’imprévisibilité au scénario du Grand Prix.