Tombé lors des deux courses, Marc Marquez a vécu un week-end bien difficile en Indonésie. L’octuple champion du monde, futur pilote Gresini Racing, ne parvient surtout pas à expliquer comment il s’est retrouvé à terre pendant la sprint race et le Grand Prix.
Dubitatif. Marc Marquez a vécu un week-end frustrant en Indonésie. A Mandalika, l’Espagnol n’a tout simplement pas compris ce qu’il lui arrivait. Qualifié huitième, le pilote Honda Repsol est tombé dans le premier tour de la course sprint. S’il en a bouclé huit lors du Grand Prix, la fourmi de Cervera a terminé de la même manière son dimanche : en regardant ses petits camarades finir la course sans lui.
Samedi, il reconnaissait avoir pris des risques dans les premiers virages. En revanche, il avouait avoir été « très calme » au départ du Grand Prix. « Jour après jour, c’était de pire en pire. J’ai perdu des positions mais je ne paniquais pas, je voulais juste finir la course.
Dans le T13, j’ai perdu l’avant sans avertissement au préalable. Encore une fois… C’est difficile à comprendre. » Probablement lassé de la situation, Marc Marquez a quitté le circuit sans passer par le media center pour les traditionnelles interviews post course.
Il ne lui reste plus que cinq courses avec Honda Repsol avant de débuter sa nouvelle aventure avec Ducati. Parviendra-t-il à briller une dernière fois avec son équipe de toujours ? Peut-être en Australie, où il s’est déjà imposé trois fois en catégorie reine (2015, 2017, 2019), épreuve sur laquelle il est « déjà concentré ».