Historiquement, le circuit de Losail convient à la Yamaha. Même si aujourd’hui les choses sont différentes, Fabio Quartararo espère avoir un coup à jouer durant le week-end du Grand Prix du Qatar.
Rester sur la lignée d’un nouveau Top 5 ? « Oui. Il y a un nouvel asphalte, ça a un peu changé. L’an dernier, nous avons terminé 9e ou 10e, mais la moto était totalement différente comme le setting. Je pense que nous sommes beaucoup mieux qu’en début de saison. On espère faire une course comme en Malaisie, essayer de terminer plus proche du vainqueur. »
Un circuit qui convient historiquement à la Yamaha. « Historiquement oui, mais je pense que ça a tellement changé au cours des deux dernières années que c’est un nouveau monde. Je ne m’attendais pas à être sur le podium en Inde. En Malaisie, je ne pensais pas que nous allions être aussi performants et rapides en Malaisie… C’est un peu difficile de comprendre pourquoi nous sommes rapides sur des circuits où nous ne pensions pas l’être, et rapides sur des circuits où nous ne devrions pas l’être. Sincèrement je pense qu’on n’a pas clairement identifié où nous devons progresser. J’espère que nous décrocherons un résultat comme en 2021. »
Un joker au sujet de la pression des pneus. « L’an dernier, je suis monté à une pression de 2.4 au lieu de 1.9. Ça s’est donc très très mal passé durant la course à cause de ça. Bien sûr, il va falloir jouer avec la pression. Nous n’avons pas encore eu d’avertissement et je pense que c’est le moment de le jouer. On le joue à chaque fois et à chaque fois on passe de peu. Au final, je pense que c’est intéressant d’avoir cette carte sous la main. »
Pecco ou Martin ? « Je vais dire Pecco. Je pense que la course qu’il a faite en Malaisie l’a reboosté. Ça faisait pas mal de temps que Martin terminait devant… il était beaucoup plus rapide que lui, que tout le monde d’ailleurs. Il a retrouvé quelque chose en plus. Je dirais Pecco. »