En pole position quatre fois de suite et vainqueur à deux reprises à Jerez, Fabio Quartararo a souffert davantage ce vendredi à l’occasion de la première journée du Grand Prix d’Espagne. Classé 16e au combiné, le Français devra passer pour la Q1 pour la deuxième fois de la saison après l’Argentine.
Comment qualifies-tu cette journée ? « Négative. En tout cas, ça n’a pas été une bonne journée, parce que je pense qu’on aurait vraiment pu faire mieux. On ne sait pas pourquoi nous avons été si lents. Il va falloir trouver la solution et quelque chose pour demain matin. »
Contraste par rapport à l’an dernier… « Non seulement par rapport à l’a dernier, mais aussi par rapport à toutes les années précédentes. Je n’ai jamais été aussi mal et je n’ai jamais une sensation aussi mauvaise. Il va falloir trouver une solution et voir pourquoi nous avons autant de mal. Je ne me sens pas bien et je ne me suis pas amusé. C’est un circuit où je prendre beaucoup de plaisir. »
Pas d’idées ? « On n’en a pas et on aimerait savoir pourquoi. En ce moment, ce n’est pas si facile. On va analyser ça et essayer de trouver la solution. »
Un dernier tour frustrant ? « J’ai tenté le tout pour le tout. À chaque virage, je ne savais pas si j’allais le terminer. C’est frustrant, car c’est un circuit que j’adore et je n’arrive pas à trouver de solutions pour aller plus vite. »
Une grosse Q1 en perspective avec Pecco, Bezzecchi… « On verra bien. On donnera le maximum, mais le plus inquiétant ce n’est pas ça, c’est de voir pourquoi on a autant de mal sur un circuit que je suis habituellement très rapide. »
La chaleur, un problème ? « Tout le monde a été plus rapide cet après-midi. On n’a pas fait de chronos ce matin et la majorité des pilotes ont amélioré, donc c’est ça le plus gros problème. »
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