Interrogé sur son avenir au Grand Prix de France, Jorge Martin nous a fait savoir qu’il était parti pour respecter son contrat de deux ans avec Ducati, en dépit des rumeurs au sujet de la clause lui permettant de changer d’usine.
Déclarations recueillies ce jeudi au Mans.
Un week-end conditionné par la météo : « Il semble que la météo ne soit pas 100 % certaine pour le moment, mais je pense qu’on est prêts pour toutes les conditions. Parfois, à Jerez, c’était très dangereux en qualification, c’étaient les pires conditions. Alors ce sera pareil, ou mieux. »
Un élément ajouté à sa Ducati : « J’ai une pièce différente à l’arrière de la moto, je l’ai utilisée seulement à Portimao mais je l’ai reprise., Je pense que maintenant elle peut m’aider, donc jee pense qu’on pourra progresser un peu. Je ne peux pas dire ce que c’est mais c’est une grosse pièce. Je m’attendais à plus de grip mais je ressens plus de turning, donc je pense que c’est intéressant de l’essayer à nouveau et de confirmer la situation. »
La réunion avec les Stewards vendredi : « Pour nous comprendre mutuellement, les situations et incidents de course ou pas, et au moins essayer que ce soit plus clair et constant selon les actions. Je pense que c’est la seule solution qu’on puisse avoir pour le moment. On va parler de certaines pénalités, mais pour comprendre la situation. Je suis en MotoGP depuis 2 ans et demi et je n’ai toujours pas eu une discussion avec eux, donc il n’y a aucune compréhension, Alors je pense que c’est un bon pas en avant que d’avoir une réunion et de discuter.
La suite de l’article revient sur les discussions concernant les négociations pour son futur. Interrogé sur le sujet, Jorge Martin explique que « c’est encore tôt car je suis sur un contrat de deux ans et c’est ma première année ». Sa place pour 2024 chez Ducati est donc assurée (« Oui, j’ai un contrat pour l’année prochaine, donc je ne suis pas pressé »). Chez Pramac Racing ? « Oui, je pense, oui. »
À l’écoute de ces déclarations, GP-Inside a relancé Jorge Martin sur le fait que son contrat disposerait d’une clause lui permettant de partir en cas d’offre d’une autre usine. « Oui, exactement », a-t-il confirmé. « Mais c’est encore tôt pour moi. »