Deuxième temps à Sepang ce mercredi, Marc Marquez se réjouit de sa première journée de l'année 2025 en piste en tant que pilote d'usine Ducati.
« Mon feeling est très bons. Il a été très bon dès le début, et cela aide aussi beaucoup d'être précis dans les commentaires. Parce que si vous sortez et que vous êtes rigide, que vous ne vous sentez pas bien, vous devez investir du temps pour vous détendre. Mais je me suis senti très à l'aise dès la première sortie, ce qui fait que nous avons commencé à travailler dès la deuxième sortie, notamment aujourd'hui sur le moteur, qui est la priorité numéro un de ces essais parce qu'on va l'homologuer pour 2025 et 2026. D’abord vient le moteur, puis l’aérodynamisme. Mais ce sont les deux choses que vous homologuez et il faut être très précis. »
« J'ai eu des commentaires positifs, surtout très similaires à ceux de Pecco. Cela a amené l'équipe à travailler dans deux directions différentes, mais pour le même objectif, parce que nous avions tous les deux un sentiment un peu étrange à un certain moment du virage, et c'est là que nous souffrons tous les deux du même problème. J’ai vraiment aimé ça parce que des deux côtés, Gigi Dall’Igna et tout le personnel ont commencé à écarter des petites choses. »
« J’ai été agréablement surpris (par l'équipe). C'est vrai que ce n'est pas comparable à ce à quoi j'étais habitué l'année dernière. J'étais aussi pilote d'usine chez Honda, mais il est vrai qu’ici la journée a été en mode 'action-réaction' et c'est très important de l'avoir, de ne pas attendre le lendemain. Cela a rendu notre travail beaucoup plus facile cet après-midi. »
« J'ai fait un time attack à la fin parce que je pense que j'en ai besoin. C'était l'un de mes points faibles l'année dernière. Il faut toujours rechercher ce risque et cet engagement à prendre ce risque. L'année dernière c'était l'un des points faibles, je dois le renforcer d'une manière ou d'une autre. Je dois donc prendre ce risque pour essayer d’être plus compétitif. »
« Il y avait du vent. Quand il y a beaucoup de grip, les chutes sont plus inattendues, et il y avait beaucoup de gomme en piste en raison du shakedown. J'ai trouvé beaucoup d'adhérence et j'ai vu des chutes très étranges, comme celles de Fernandez et de Martin à qui on pense fort. »