Marc Marquez estime que la situation à Valence exige toute l’attention des autorités avant de penser à la tenue du dernier Grand Prix de la saison.
La situation à Valence. « L’Espagne, en particulier Valence, a été très touchée. En tant qu’Espagnol, c’est très difficile de voir ce genre d’image et théoriquement, nous avons un Grand Prix là-bas, mais maintenant je pense que tous les moyens du gouvernement espagnol doivent être déployés pour les personnes qui ont perdu leur maison. Nous avons perdu beaucoup de vies, déjà une centaine, selon ce que j’ai lu hier soir, donc nous devons bien comprendre la situation, mais tous les moyens doivent être mis en place pour ces personnes. Je vois les dégâts causés au circuit de Valence, mais il n’est pas possible de commencer à réparer ces choses tant qu’il y a de nombreuses personnes sans toit, alors voyons ce qu’ils vont faire. »
Malaisie, mieux avec Ducati ? « Historiquement, c’est l’un des circuits les plus difficiles, et avec un an d’expérience avec la Ducati, ce sera compliqué, mais nous essaierons de comprendre vendredi où nous en sommes. Par exemple, si en Thaïlande nous étions dans des conditions sèches, en parlant toujours de conditions sèches, nous étions à la troisième ou quatrième place ici, si nous pouvons égaler le même niveau, ce serait un super résultat parce que théoriquement, il faut que ce soit la même chose ou un peu moins. »