Johann Zarco a chuté durant la séance d’essais et s’est adjugé le 17e temps. Le Français, tout comme son compatriote, devra passer en Q1, mais la pluie pourrait changer la donne.
Albesiano au HRC. « Ça peut permettre d’avoir d’autres idées et de savoir un peu comment une autre moto avec d’autres chiffres fonctionne. J’espère que ça pourra aussi permettre d’essayer des choses. On essaie des choses, mais il n’y a pas de grands changements (…). Je me dis que ça peut être aidé à procéder à des changements plus radicaux. Je suis quand même sûr que le travail des Japonais - s’ils arrivent à trouver la bonne direction - peut être meilleur que celui des Européens. J’y crois. »
D’où cela vient-il ? « Je ne sais pas, ils travaillent différemment. Ils sont capables de travailler sur des détails qui m’impressionnent. Mais là pour l’instant, on ne regarde pas au bon endroit. Il y a des choses où on perd trop de temps, ça limite énormément. Peut-être que ça, un ingénieur européen va aider à voir différemment, je l’espère. »
Une journée comme tu l’espérais ? « Il y a des écarts un peu plus serrés que ce que je pensais finalement. Il y a quand même du monde. Ce qui est dommage c’est qu’on n’a pas pu trouver quelque chose qui nous a vraiment aidés. On a essayé des choses en toute logique, mais finalement un bien pour un mal, et c’est ça le problème (…) Oui, il y a du positif, mais il y a aussi du négatif. Il faut que ça ne soit que positif (…) »
Q1 sous la pluie ? « Je sais qu’on a les mêmes soucis sous la pluie. Mais j’espère pouvoir me libérer et pouvoir saisir une opportunité parce que c’est sûr qu’il peut y avoir un moyen d’extraire quelque chose de bon de cette moto sous la pluie et se retrouver dans les bons chronos (…) la pluie est le plus gros facteur qui puisse m’aider demain. »